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2006 CHRYSLER VIPER GTS-R GT1

VENDUE

 

  • Une GT très compétitive développée par ORECA et ayant supplanté la concurrence

  • De nombreux upgrades pour courir en catégorie GT1 

  • Fiable et offrant des coûts d'entretien maîtrisés

  • Eligible Masters Endurance Legends en Europe et aux USA, Gulf Historic, Endurance Racing Legends & Le Mans Classic

ELIGIBILITE

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES

ENDURANCE RACING LEGENDS by PETER AUTO

LE MANS CLASSIC

LE MANS 24 HOURS SUPPORT RACE

MASTERS ENDURANCE LEGENDS

GULF HISTORIC

MASTERS ENDURANCE LEGENDS USA

SEBRING CLASSIC 12 HOUR by HSR

DAYTONA CLASSIC 24 HOUR by HSR

ROLEX MONTEREY MOTORSPOSTS REUNION

Marque

CHRYSLER / ORECA

Modèle

GTS-R GT1

Année

2000 Evoluée en config. 2006

No de châssis

Châssis

TUBULAIRE ACIER

Moteur

VIPER 8.0-liter (7,998 cc)- V10

Puissance

605 CH. @ 6500 T/MIN

Boite de vitesse

6 vitesses

Poids

1150 kg

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VIPER ORECA GTS-R

Au palmarès des voitures américaines qui sont devenues des icônes grâce à la compétition, il existe beaucoup de prétendantes. Parmi celles qui ont forgé leur légende dans la Sarthe, on retrouve la Viper GTS-R ! Contemporaine de la Corvette C5-R avec qui elle a livré des batailles féroces, de Sebring à Daytona en passant par Le Mans, la VIper GTS-R incarne une vision du Grand Tourisme unique ! Une auto à la ligne élancée et intemporelle, taillée pour la vitesse, avec un son rauque tiré d’un V10 Chrysler. Elle était engagée en course par Chrysler qui voulait en faire une auto iconique avec une histoire, et pas simplement une « muscle-car » de plus. Chrysler s’est efforcé d’utiliser le plus possible de pièces issues de la version de production, permettant de faire de la Viper une véritable GT dans son esprit et son ADN.

Ascott Collection propose aujourd’hui à la vente l’un des 55 exemplaires de GTS-R produits. Une voiture engagée en compétition en période avec un historique connu et animatrice des courses historiques actuelles.

 

Les débuts du programme Viper

La Chrysler Viper GTS-R (appelée Dodge Viper GTS-R aux Etats-Unis) dérive de la version de série de la Viper. Apparue en 1992, après la présentation d’un tout premier prototype au public en 1989, la Viper trouve le chemin des circuits rapidement dans des courses nationales en Amérique du Nord. Mais le premier modèle (un roadster) ne dispose pas d’une rigidité suffisante et n’est pas pleinement adapté à la compétition de haut niveau. Alors qu’un modèle coupé apparaît dans la gamme – la Viper GTS – Chrysler décide de développer en parallèle un programme sportif d’envergure. L’idée est de créer une véritable synergie entre le modèle de route GTS et la voiture de course GTS-R (pour Racing), pour servir d’étendard à la marque notamment en Europe. Cet engagement est approuvé en 1995, et se traduit par des débuts en compétition internationale en 1996. 

Un ensemble de prestataires est sélectionné pour démarrer le programme. Les ingénieurs de Caldwell Development Inc pour la partie moteur travaillent avec l’appui de J&P Motorsports. Du personnel Chrysler est également directement impliqué pour les études aérodynamiques aux États-Unis et en Angleterre, en partenariat avec Reynard Motorsports. Riley & Scott, autre structure américaine bien connue, aide également à la construction des premiers prototypes avant que ce rôle ne soit ensuite confié à Roush Industries.

Pour l'Amérique du Nord, Chrysler s’était initialement rapproché de l'équipe Canaska/Southwind pour engager les voitures. Après une saison en IMSA GT en 1996 et la présence de deux châssis aux 24 Heures du Mans la même année (dont un exemplaire classé 10e), Canaska/Southwind se retira du projet de développement de la Viper en 1997. 

C’est l’équipe française Oreca, également sélectionnée au début du projet, qui fut retenue pour construire et entretenir les voitures dans ses ateliers de Signes, et servir de relais à l’engagement officiel Chrysler en Europe puis partout dans le monde. Oreca se chargea d’assembler tous les composants en provenance d’Angleterre et des États-Unis. À partir du châssis C9, les Viper « naquirent » dans le Var. 

La Viper GTS-R a un un palmarès exceptionnel

Il est possible de dérouler le palmarès de toutes les Viper engagées en compétition, mais la liste des succès est telle qu’elle donne le tournis. Ce qu’il faut retenir de l’épopée Viper est la montée en puissance qu’a permis l’appui d’Oreca. 

En 1997, Oreca décroche les titres pilotes et équipes en FIA GT (catégorie GT2), apportant le premier succès d’envergure au modèle. 

Puis les succès suivirent. Les Viper GTS-R remportèrent quatre autres championnats du monde FIA GT (1998 et 1999 en GT2, 2001 et 2002 en GT1), mais aussi trois victoires de catégorie consécutives aux 24 Heures du Mans (de 1998 à 2000), deux championnats American Le Mans Series (1999 et 2000), ou encore la victoire au général aux 24 Heures de Daytona 2000.

De multiples victoires au classement général lors d'autres épreuves de 24 heures et plus de 10 championnats nationaux à travers le monde comptent au palmarès des Viper. De toutes les saisons, l’année 2000 est celle qui sonne comme l’aboutissement. Le triomphe Oreca aux 24 Heures du Mans fut total, la domination du modèle réelle et incitant toujours plus d’équipes à choisir l’américaine. C’est ce qui explique en partie que les ateliers d’Oreca assembleront en 2000 14 châssis (de C25 à C38). De loin le millésime le plus prolifique. Parmi les exemplaires de cette année symbolique, on retrouve C37 aujourd’hui à la vente.

 

Viper GTS-R châssis C37 : de nombreux upgrades pour courir en catégorie GT1

Selon l’ordre d’assemblage et les numéros de châssis compilés, la Viper GTS-R C37 est un modèle de 2000, bien que n’ayant été engagée pour la première fois officiellement qu’en 2002 par Peter Cook. Son palmarès est complet avec des engagements dans plusieurs championnats : en Kumho Euro GT Series, en FIA GT, en Belcar puis dans le Championnat de France FFSA GT.

C’est dans le championnat français que la Viper va enchaîner le plus de courses, présente pendant deux saisons (2005 et 2006) via la structure CD Sport. Laurent Cazenave partagea le volant de la voiture frappée du n°22 en 2005 avec Jean-Claude Police, Johnny Guitard et Didier Moureu. En 2006, Laurent Cazenave et Jean-Claude Police sont associés le plus fréquemment.

​Au cours de sa carrière sportive, cette Viper a bénéficié de nombreux upgrades (voies larges, aileron large, suspensions optimisées) et a ainsi été engagée en catégorie GT1.

C37 a rejoint le Musée Viper en Suisse avant d’être acquise en 2017 par le propriétaire actuel qui l’a engagée en Masters Endurance Racing et en Endurance Racing Legends by Peter Auto. Entre les mains expertes de son  propriétaire, C37 a toujours figuré en tête des GT en courses historiques. Durant ces dernières années, elle a reçu un entretien sans limite de coût au sein d'un des meilleurs ateliers Français. Elle est proposée avec un lot de pièces de base et il est possible d’acquérir un important lot de pièces supplémentaire. 

Historique de course

07/04/2002 - Barcelone – Kumho Euro GT Series – 8e et 5e – Peter Cook (n°2)
04/05/2002 – Silverstone – FIA GT – 10e - Carl Rosenblad / Peter Cook / Neil Cunningham (n°26)
15/09/2002 – Spa-Francorchamps - Kumho Euro GT Series – abandon et 3e – Peter Cook (n°2)
08/06/2003 – Spa-Francorchamps – Belcar – 26e - Peter Cook /Franck Pelle (n°26)
24/08/2003 – Spa-Francorchamps – ADAC – double abandon – Peter Cook (n°14)
05/06/2004 - Spa-Francorchamps – Belcar – abandon - Peter Cook /Franck Pelle (n°20)
26/09/2004 - Spa-Francorchamps – Belcar – non-partante - Peter Cook /Franck Pelle (n°20)
28/03/2005 – Nogaro – GT FFSA – 19e et non-partante - Laurent Cazenave / Johnny Guitard (n°22)
17/04/2005 – Lédenon – GT FFSA – abandon et 8e - Laurent Cazenave / Johnny Guitard (n°22)
08/05/2005 – Pau – GT FFSA – 19e - Laurent Cazenave / Johnny Guitard (n°22)
29/05/2005 – Dijon – GT FFSA – abandon et 11e - Laurent Cazenave / Didier Moureu (n°22)
26/06/2005 – Val de Vienne – GT FFSA – 9e et abandon - Laurent Cazenave / Jean-Claude Police (n°22)
04/09/2005 – Albi – GT FFSA – 17e et abandon - Laurent Cazenave / Jean-Claude Police (n°22)
25/09/2005 – Le Mans – GT FFSA – 9e et 12e - Laurent Cazenave / Jean-Claude Police (n°22)
16/10/2005 – Magny-Cours – GT FFSA – 8e et 29e - Laurent Cazenave / Jean-Claude Police (n°22)
17/04/2006 – Nogaro – GT FFSA – 9e et 11e - Laurent Cazenave / Jean-Claude Police (n°22)
30/04/2006 – Lédenon – GT FFSA – 26e et non-partante - Laurent Cazenave / Jean-Claude Police (n°22)
21/05/2006 – Dijon – GT FFSA - 9e et 10e - Laurent Cazenave / Jean-Claude Police (n°22)
25/06/2006 – Pau – GT FFSA – 14e et 27e - Jean-Luc Beaubélique / Laurent Cazenave (n°22)
10/09/2006 – Albi – GT FFSA – 22e et 23e - Pascal Destembert / Michel Nourry (n°22)
15/10/2006 – Le Mans – GT FFSA – 28e et non-partante - Laurent Cazenave / Simon Abadie (n°22)
22/10/2006 – Magny-Cours – GT FFSA – 14e et 14e - Thierry Rabineau / Luc Paillard (n°22)

APPELEZ-NOUS : +33 9 67 33 48 43

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